Comme les associations de terrain qui s’occupent de cette problématique, je suis particulièrement inquiète et préoccupée par l’augmentation des appels à l’aide (entre 25 et 30 % d’appels et de demandes d’aide supplémentaires par rapport à une période plus ordinaire).
Il est impératif de développer la capacité de logements d’urgence et trouver des solutions d’attente.
Je propose aussi :
D’imposer aux zones de police de contacter les personnes qui ont déposé une plainte pour de tels faits ces trois derniers mois et leur téléphoner pour voir si tout va bien.
« Ce serait plus facile pour elles de dévoiler leur situation puisqu’elles n’auraient pas fait la démarche. On pourrait aussi leur demander de contacter les auteurs potentiels, toujours sur base des plaintes des trois derniers mois : une manière de leur dire qu’on les tient toujours à l’œil ».
Mais aussi :
- des pharmaciens référents, à savoir qu’une victime de violences conjugales peut donner l’alerte via le pharmacien.
- permettre aux victimes d’envoyer un SMS d’urgence à un numéro vert « c’est plus simple que de téléphoner. »