Frank Robben sur le « Putting Data at the center » en commission justice
Ce mardi 27 avril, à la commission Justice de la Chambre, nous auditionnions Frank Robben sur le projet « Putting Data at the center ».
Ce mardi 27 avril, à la commission Justice de la Chambre, nous auditionnions Frank Robben sur le projet « Putting Data at the center ».
Qu’y a-t-il sous le capot des algorithmes ? Quelles données ? Selon quelles règles et à quelles fins ? Les Etats, Commission européenne en tête, ont coutume d’adresser ce type de questions à Facebook, Google ou Amazon, eux qui ont fait de nos traces de vie l’or noir de leur modèle économique. On oublie un peu vite que les autorités publiques elles-mêmes manipulent une masse gigantesque de données à caractère personnel. Appliquent-elles à elles-mêmes ce devoir de transparence exigé aux Gafas ?
Question orale à la Ministre de l’intérieur relative au groupe de travail d’experts chargé de la nouvelle loi de financement des zones de police
Actuellement, la loi sur la protection civile permet au ministre compétent ou aux bourgmestres de prendre des mesures qui limitent la liberté des citoyens en cas de danger pour la population.
La loi ne prévoit cependant aucune limitation dans le temps pour l’effet de ces mesures. Les auteurs estiment que cela est contraire aux libertés fondamentales.
La proposition de loi prévoit donc une limite de temps pour l’effet de ces mesures, qui ne peut excéder cinq jours, à compter de leur publication, renouvelable seulement une fois.
Question orale à la Ministre de l’Intérieur relative à la non-inscription du subside NAPAP dans le budget des zones de police et ses implications
Question orale à la Ministre de l’Intérieur sur les violences intrafamiliales durant le confinement
Question écrite relative aux effectifs au sein des zones de secours à la Ministre de l’Intérieur.
Question écrite à la Ministre de l’Intérieur relative à l’interprétation de l’article 67, alinéa 2 de la loi du 15 mai 2007 relative à la sécurité civile
Avec Maxime Prévot, je dépose une proposition de loi qui vise à inscrire l’inceste dans le Code pénal en tant que crime à part entière.La législation actuelle ne criminalise en effet pas directement l’acte incestueux et ne le reconnaît pas comme un crime d’abus sexuel en tant que tel.Cela a pour conséquence que de nombreux auteurs estiment que l’inceste n’est pas un acte pénalement répressible. Encore bien trop souvent tabou dans nos sociétés, l’inceste est pourtant bien présent et se révèle être dévastateur pour les victimes dont les séquelles font surface durant toute leur vie.