Rendre de la noblesse à la politique
Je veux rendre de la noblesse à la politique parce que vous, nous avons besoin de hauteur, de poser notre regard sur la ligne d’horizon, de sortir de l’immédiateté et des réponses toutes faites.
Je veux rendre de la noblesse à la politique parce que vous, nous avons besoin de hauteur, de poser notre regard sur la ligne d’horizon, de sortir de l’immédiateté et des réponses toutes faites.
C’est le début d’un mouvement positif. Aujourd’hui, nous rassemblons et concertons pour mieux construire demain, pour mieux répondre aux attentes et besoins des citoyens tout en tenant compte des urgences climatiques et sociales notamment. La politique d’aujourd’hui ne répond plus aux enjeux, il faut se réinventer, il faut créer de l’enthousiasme, cela passe par un processus dynamique, d’envergure et inclusif. On compte sur vous pour faire partie de l’aventure, à nous de construire demain pour laisser entrer le soleil et qu’il fasse beau demain.
À défaut de pouvoir connaître personnellement chacun des 11 millions de Belges, nous devons avoir recours à des indicateurs statistiques destinés à mesurer ce bien-être, son évolution et à définir les actions à mener pour augmenter celui-ci.
Notre époque, où la société et l’économie de marché sont de plus en plus assujetties à la dynamique du capitalisme et de l’innovation technologique qui en est inséparable, qui est menacée de déshumanisation. Une modernisation fondée sur le matérialisme, donc sur le profit, et sur l’individualisme, donc sur la solitude et l’aliénation, rabaisse l’homme et l’empêche de vivre debout.
C’est Jean-François Kahn qui prend sa plume pour une analyse en nuance du mouvement des Gilets jaunes en France et les débordements intolérables provoqués par …
« Tout dépend de nous », c’est par ces mots que conclut Jacques Attali cette très juste opinion en soulignant que l’empathie aussi chez nos …
Une excellente une opinion de Laura Rizzerio, professeur de philosophie à l’université de Namur sur l’abandon par le politique du « bien commun ».En cette période de …
Faire l’expérience de la souffrance invalidante, c’est passer de l’autre côté du miroir et voir le monde autrement. Et d’abord la politique. Mes convictions, ma passion, mon engagement restent intacts. Comment pourrait-il en aller autrement. On ne se refait pas.
Mais je dois désormais compter avec mes limites. Le temps de l’activisme tous azimuts est derrière moi. Celui de l’action ciblée sur l’essentiel est devant moi.
Or, c’est justement d’essentiel que la politique à besoin. Voilà que mes contraintes physiques m’obligent à jouer en politique un autre rôle, celui justement dont la Politique manque cruellement et que nous devons combler.
Faire l’expérience de la souffrance invalidante, c’est passer de l’autre côté du miroir et voir le monde autrement. Et d’abord la politique. Mes convictions, ma …