Mobilité
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Bus 64 et 65 : Les usagers de l’Ourthe-Amblève devront encore attendre…

Le comité d’usagers de l’Ourthe-Amblève et le personnel du TEC m’ont relayé il y a plusieurs jours une demande de prolongation des mesures COVID-19 qui s’achevaient au 1er juillet. Celles-ci permettaient aux usagers des communes de Chaudfontaine, de Sprimont et d’Aywaille au départ de Liège de pouvoir assurer leur retour vers leur domicile sans que les bus 64 et 65 ne passent sous leurs yeux en affichant complet.

Ligne de trains : Liège-Gouvy ( Ligne 42) : de qui se moque-t-on?

La SNCB décide ainsi toute seule dans son coin que la ligne 42 qui devait passer à 1 train par heure et dans chaque sens en décembre 2020 pour le plus grand bonheur et confort des navetteurs ne recevra ce renforcement qu’en décembre 2021 . La raison ? Très obscure à ce stade, la crise Covid semble en être la raison? Elle a bon dos!

Bus 64 et 65 réservés pour les usagers d’Ourthe-Amblève ? : une demande forte au TEC

Me faisant ici le relais d’usagers et du personnel des points desservis par les bus 64 et 65 ( Beaufays, Sprimont, Louveigné, Banneux, Aywaille), je demande au TEC de prolonger la mesure prise pendant la période Covid et toujours en vigueur jusqu’au 1 juillet prochain , et de ne pas permettre au départ de Liège aux usagers qui vont soit à Belle-Ile, soit à Chênee d’embarquer dans un bus 64 et 65 pour les réserver exclusivement aux usagers qui vont plus loin dans leurs parcours. Les usagers de trajets à travers Liége ont d’autres alternatives que celle des bus 64 et 65.

La grève à la SNCB

Enfin, selon la CGSP Cheminots, le patron d’Infrabel aurait négocié un bonus de 8 % pour assurer les affaires courantes de la société, en attendant un gouvernement de plein exercice qui pourra lancer la procédure de renouvellement ou de remplacement. Confirmez-vous cette information? Pensez-vous que cette demande soit de nature à rendre le dialogue social plus serein?

Proposition de loi visant le renforcement de la concertation interfédérale en matière de mobilité et l’établissement d’un Pacte interfédéral de mobilité

Au travers de cette proposition de résolution, nous souhaitons que le gouvernement initie un renforcement du Comité exécutif des ministres de la Mobilité (CEMM), instauré par l’article 3 de l’Accord de coopération de 2002 entre l’État, la Région flamande, la Région Wallonne et la Région de Bruxelles-Capitale relatif au plan d’investissement pluriannuel 2001-2012 de la SNCB.