A ce jour, en cas de meurtre, d’assassinat, d’empoisonnement mortel ou de violences ayant entraîné la mort d’un parent par l’autre, celui-ci conserve l’autorité parentale sur ses enfants: une situation qui pose beaucoup de questions et qui mène à des circonstances dramatiques pour l’enfant et sa famille.
J’ai déposé une proposition de loi (cosignée par maxime Prévot) visant à permettre sans délai et sans attendre l’issue de la procédure pénale, au(x) membre(s) de la famille avec le degré de parenté le plus proche (grands-parents, oncles et tantes…), de prendre temporairement toutes les décisions relevant de l’exercice de l’autorité parentale.