Vanessa MATZ

Vanessa MATZ

Réactions au sujet du déploiement de la 5G annoncé par Proximus fin mars 2020

Comme parlementaire fédérale, début février 2020, je dénonçais à la Chambre la procédure très peu orthodoxe qui permettait à l’IBPT (le régulateur des télécoms) d’octroyer des licences provisoires pour la 5G (le déploiement actuel est la conséquence de ces décisions de l’IBPT) sans aucun contrôle démocratique, sans aucun débat citoyen autour des questions de santé, de modèle de société que nous voulons, de sécurité nationale aussi.

Violences conjugales pendant le confinement : STOP!

Comme les associations de terrain qui s’occupent de cette problématique, je suis particulièrement inquiète et préoccupée par l’augmentation des appels à l’aide (entre 25 et 30 % d’appels et de demandes d’aide supplémentaires par rapport à une période plus ordinaire).

Coronavirus – Prenez soin de vous et des autres

Apprendre à danser sous la pluie tout de suite car l’urgence impose que toutes nos forces soient dédicacées à une lutte sans faille contre le virus : budget et mesures pour le soutien aux hôpitaux, à l’approvisionnement en masques, protections et médicaments, soutien à tout le personnel soignant à l’hôpital et à domicile, soutien au secteur économique lourdement impacté, soutien aux travailleurs, au secteur associatif, et une attention particulière aux plus vulnérables qui sont davantage fragilisés par cette crise. Pour ce faire, nous avons voté la confiance au gouvernement, soutenu les pouvoirs spéciaux et voté toute une série de mesures de soutien notamment aux indépendants.

Combattre la diffusion d’images à caractère sexuel non consentie, une urgence

Ma proposition de loi vise 2 objectifs :

Sanctions : L’auteur de la diffusion risque jusqu’à 5 ans de prison en plus d’une amende pouvant aller jusqu’à 10 000€ s’il y a une intention malveillante, faire du mal à la victime. se venger ou s’il y a un but de lucre, économique.
Retrait des images : Une procédure judiciaire oblige tous les éditeurs, diffuseurs et les opérateurs et à mettre tous les moyens nécessaires pour faire retirer les images ou les rendre invisibles dans les 6 heures. Ils refusent ?Ils risquent de 200 à 15000€ d’amende