En commission de la Justice ce mercredi 16 septembre, nous avons poursuivi nos travaux sur l’affaire Chovanec par l’audition du collège des Procureurs généraux.
Aucun élément relatif au dossier pénal qui est à l’instruction n’a été dévoilé , ce qui est normal au regard des principes de présomption d’innocence , du respect du secret de l’instruction …
Cependant, des éléments essentiels pour mettre à jour des éventuels dysfonctionnements et des éventuelles responsabilités auraient pu être dévoilés tout en préservant ces principes fondamentaux.
Je regrette évidemment « ce mutisme » qui n’est pas de nature à rendre confiance dans des institutions ébranlées par cette affaire , telles que la police, la justice et la politique.
Quand des interprétations sont possibles et que des questions restent sans réponse , c’est toute la démocratie et ses rouages qui sont grippés.