Vanessa Matz (cdH): Madame la présidente, nous nous associons évidemment à vos paroles et à celles du premier ministre face à ce drame que vit l’Ukraine. J’en profite pour exprimer à nouveau toute notre compassion à ces milliers de victimes innocentes, à ces civils qui n’ont rien demandé mais aussi à ces milliers de réfugiés qui sont jetés sur les routes de l’exil. Il y a effectivement, dans le chef de l’Europe, un défi historique. Je m’en tiendrai, monsieur le secrétaire d’État, à celui qui concerne l’accueil des réfugiés.